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Par Jacques Perron, C. 63
L’UQÀM célèbre son 50e anniversaire en 2019 – 2020. Et dans le cadre de sa série « 50 ans d’histoires » , elle souligne l’apport de notre Alma Mater, et ce, deux fois plutôt qu’une !
1. Article sur le collège Sainte-Marie, établissement fondateur de l’UQÀM
L’UQÀM a mis en ligne le 14 novembre dernier un article intitulé « Un collège pas comme les autres » , qui survole le contexte social, culturel et éducatif qui était celui du Québec il y a 50 ans et souligne l’impact particulier du CSM sur ces domaines. Le texte est également enrichi de commentaires de certains de nos confrères.
2. Exposition au Centre des livres rares et des collections spéciales
 À l'occasion de l'aménagement de la Bibliothèque de l'UQAM dans de nouveaux locaux, celle-ci en a profité pour créer le Centre des livres rares et des collections spéciales, dont l'inauguration a eu lieu le 4 décembre dernier (voir le communiqué de presse).
Et pour célébrer cette ouverture, l'UQAM tient une exposition en trois volets, dont le premier est consacré à des perles précieuse tirées du legs de la bibliothèque du collège Sainte-Marie en 1969. En tout, 26 livres rares de ce legs sont présentés. Et, bonheur pour les latinistes, une vingtaine d'entre eux sont en latin !
Voici ce que disait Georges Leroux (C. 61) qui était l'invité d'honneur lors de l'inauguration:
« Quand j’arrivai au Collège Sainte-Marie, en septembre 1956, j’eus le bonheur de découvrir une bibliothèque qui prenait le relais de celle, très humble, que j’avais fréquentée dans ma paroisse. Je peux dire que tous les auteurs qui allaient devenir importants pour moi, je les ai découverts dans la bibliothèque de mon collège, témoigne Georges Leroux. Je ne connais aucun intellectuel, aucun écrivain, aucun artiste, aucune personne de culture, et pratiquement aucun étudiant qui ne porte l’idéal de construire sa bibliothèque personnelle. »
Cette exposition se tient au pavillon Hubert Aquin (angle Berri et Sainte-Catherine) jusqu'au 14 février 2020. À noter qu’il s’agit d’une exposition au sens premier du terme ! les livres sont en vitrine et ne peuvent être touchés ou manipulés, et l’exposition n’est pas ouverte au grand public.
Enfin, je vous signale un reportage diffusé samedi le 4 janvier au Téléjournal de Radio-Canada sur cette exposition.
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