Le 
              mot du président 
            
            Nemo dat quod non habet!
            Eh bien oui, la langue est ancienne mais l’affirmation toujours 
              vraie : on ne donne pas ce que l’on n’a pas ! 
            Votre association veut bien être généreuse 
              : bulletin Sainte-Marie, site Internet, services aux membres, rencontre 
              annuelle... mais nos moyens diminuent. Beaucoup de collègues 
              oeuvrent – bénévolement – pour garder 
              vivante l’appartenance au Sainte-Marie. Nous croyons qu’il 
              s’agit de beaucoup plus que de nostalgie. C’est un lieu 
              nourricier qui garde vivants notre enthousiasme de jeunesse, nos 
              racines, notre appartenance à une éducation humaniste. 
            Ma longue expérience de l’éducation m’amène 
              à penser qu’on «appartient à une éducation» 
              comme à une famille. Vivre huit ans dans une maison d’éducation 
              qui se nourrissait aux sources vives de l’humanisme marque 
              à tout jamais. Vous en doutez ? Lisez le beau livre de Jacqueline 
              De Romilly : Le trésor des savoirs oubliés. 
            Félix Antoine Savard a résumé tout cela en 
              quelques lignes : 
             
               Les feuilles tombent mais les racines demeurent. 
                Et meurt la tête quand meurent les racines. 
                Il est bien difficile de faire l’histoire des racines. 
                Il est beaucoup plus simple de la renier. 
                Mais alors, que devient la tête ?  
               
                 
                   
                     
                      
                        (Carnet du soir intérieur) 
                       
                     
                   
                 
               
             
            Beaucoup de feuilles sont tombées ; c’est le lot de 
              la vie, mais «les racines demeurent». 
            Nous veillons à leur survie : êtes-vous prêts 
              à nous appuyer ? 
             
              Le président, 
             Émile Robichaud C. 53 
             
            Remonter 
               
            Assemblée générale 
              et fête annuelle 2006
            Assemblée générale et fête annuelle 2006 
            Cette année encore, la fête annuelle était célébrée 
            le dernier lundi d’avril soit le 24, au lieu du traditionnel 
            premier lundi de mai et près de cent anciens s’étaient 
            rassemblés pour l’occasion. La fête débutait 
            par la messe en l’église du Gésu, célébrée 
            par Bernard Bélair s.j., C. 60, et l’abbé Maurice 
            Comeau, C. 56. Marie-Danielle Plante, C. 67, et Gilles Dumontier, 
            C. 50, dirigeaient les chants pendant que Jean-Louis Lalonde, C. 49, 
            touchait l’orgue. 
             
            Dans son homélie, Bernard Bélair nous a conviés 
            vers la démarche de Nicodème, ce « chercheur de 
            Dieu» pour naître par la foi à une vie nouvelle. 
            Il nous a notamment référés aux Exercices spirituels 
            de Saint Ignace pour garder une vision lucidement optimiste du monde, 
            afin d’y faire régner la justice, la paix et l’amour. 
            Il nous a invités à réaliser qu’alors que 
            nous croyons chercher Dieu, c’est Dieu qui nous cherche et nous 
            précède. 
             
            Le groupe des anciens s’est par la suite déplacé 
            vers la salle Georges-Henri d’Auteuil pour l’assemblée 
            annuelle où le président Émile Robichaud, C. 
            53, leur a tout d’abord souhaité la bienvenue, en évoquant 
            l’attachement des anciens à la formation humaniste que 
            donnait le collège, dont l’association entend garder 
            le souvenir bien vivant. Puis, Guy Dulude, C. 48, président 
            du comité des conventums, a invité les anciens et particulièrement 
            les diplômés des années soixante, à solliciter 
            l’appui du comité pour organiser ces réunions 
            de conventum qui sont au cœur même de la mission de notre 
            association. 
             
            Notre trésorier, Jacques-Maire Gaulin, C. 48, qui avait revêtu 
            pour l’occasion une livrée de grand notable, a brossé 
            un tableau exhaustif de la situation financière de l’association, 
            démontrant le succès des mesures d’économie 
            adoptées lors de la dernière assemblée générale. 
            Grâce à ces mesures, notre association renoue avec l’équilibre 
            financier et se donne des assises solides. 
            Le président Émile Robichaud a par la suite dressé 
            un bilan d’ensemble des réalisations de l’année 
            à l’AACSM, insistant notamment sur le redressement des 
            finances, la publication semestrielle d’un bulletin porté 
            à douze pages, l’achèvement de la liste des anciens 
            professeurs et autres professionnels ayant œuvré au collège, 
            la mise à jour constante du site Internet devenu moyen de communication 
            par excellence avec les Anciens. Il a souhaité la bienvenue 
            à Maurice Comeau, C. 56, qui devient membre du Conseil d’administration 
            à titre de conseiller spirituel, en remplacement de Bernard 
            Bélair, rappelé au siège de la compagnie. Il 
            a remercié ce dernier pour son dévouement à l’association 
            de même que Gilles Dumontier, C. 50, et Marie-Danielle Plante, 
            C. 67, qui quittent également le Conseil. 
             
            Puis vient le moment de présenter la candidature retenue pour 
            le prix d’engagement communautaire, prix décerné 
            à un ancien qui s’est distingué par son implication 
            bénévole au service de la communauté. Le vice-président, 
            Richard L’Heureux, C. 62, annonce que la candidature retenue 
            cette année est celle de Jacques D. Girard, C.59. Depuis plus 
            de dix ans, Jacques consacre beaucoup d’énergie aux activités 
            de la « Maison des enfants », qui permet aux enfants du 
            quartier Hochelaga-Maisonneuve non seulement de se retrouver et de 
            fraterniser dans une maison bien à eux, mais aussi d’écrire 
            à des adultes bénévoles des lettres où 
            ils expriment leurs rêves et leurs préoccupations. En 
            plus de répondre lui-même à des lettres d’enfants, 
            Jacques agit occasionnellement comme facteur, faisant la cueillette 
            hebdomadaire du courrier dans huit des 23 écoles primaires 
            qui sont en relation avec la Maison des enfants. De plus, chaque automne, 
            il se rend dans les classes de plusieurs de ces écoles pour 
            faire connaître la Maison des enfants et son service de courrier. 
             
            Après la présentation, le président Émile 
            Robichaud remet à Jacques D. Girard le prix consistant en une 
            plaque et une sculpture, devant l’assemblée à 
            laquelle s’étaient joints l’épouse de Jacques, 
            Angéline, leur fille Sandrine et leur fils Christian. 
            L’assemblée se termine avec l’élection des 
            administrateurs : trois anciens ont été élus 
            pour venir épauler l’équipe en place : René-Charles 
            Alary, C. 48, Daniel Beaudoin, C. 66 et Gilbert Saint-Louis, C. 59. 
             
            L’assemblée s’est terminée par la présentation 
            d’un diaporama de photos de différentes salles du collège, 
            facilement reconnues par ces anciens qui y ont évolué 
            pendant tant d’années. 
            Après une session aussi bien remplie, les anciens étaient 
            fort heureux de se retrouver autour d’un bon verre de vin et 
            d’une bonne assiette de mets fins et variés, à 
            débattre des questions de l’heure, à échanger 
            entre confrères, consœurs et épouses, des nouvelles 
            de tous et chacun, des souvenirs de leur Alma Mater. 
            
            Remonter 
               
            Le conseil d'administration 
              2006-2007
               
             
            Assis: Richard L'Heureux, C. 62, vice-président 
              et responsable du Bulletin, Émile Robichaud, C. 53, président, 
              et Jacques-Marie Gaulin, C. 48, trésorier. 
              Debout: Guy Dulude, C. 
              48, Daniel Beaudoin, C. 66, Bernard Downs, C. 59, Gilbert Saint-Louis, 
              C. 59, secrétaire, et René Charles Alary, C. 48. 
              En médaillon: Jean Collard, C. 
              56, abbé Maurice Comeau, C. 56, Richard d'Auteuil, C. 57, 
              Pierre La Buissonnière, C. 68, Dr Serge Montplaisir, C. 60, 
              Serge Moquin, C. 68, et Maurice Mousseau, C. 67. 
             
            Profil de vos administrateurs...
            L’assemblée annuelle, la venue de nouveaux membres 
              au Conseil d’administration, voilà une belle occasion 
              de faire plus ample connaissance avec vos administrateurs, dont 
              voici un bref profil : 
            Emile Robichaud, C. 53, Président : Directeur 
              de l’Institut Marie-Guyart, président de quelques organismes, 
              bricoleur spécialisé en cascades… (voir l’article 
              sur les cascades) 
            Richard L’Heureux, C. 62, Vice-président 
              : Économiste consultant, administrateur (Cégep de 
              St-Laurent, Association des parents du Cégep de St-Laurent, 
              Club de ski Viking), amateur de ski (de fond), de voyages en canot, 
              de pêche à la mouche. 
            Gilbert St-Louis, C. 59, Secrétaire : N'est 
              plus rémunéré comme consultant en ressources 
              humaines, n'a plus de jardin ni de potager parce qu’il réussissait 
              trop bien dans la culture des navets…. S'amuse à la 
              voile et, de temps à autre, accompagne à la pêche 
              Guy Dulude, C. 48 sur sa « Verchères » nouvelle 
              génération super rapide. 
            Jacques-Marie Gaulin, C. 48, Trésorier 
              : trésorier à la Société d'histoire 
              de la 
              Vallée du Richelieu et à celle de Saint-Basile-le-Grand, 
              représentant officiel (trésorier) de  
              l'instance de la région de la Montérégie du 
              Parti Québécois et aussi représentant officiel 
              (trésorier) de l'Action municipale de Saint-Basile-le-Grand. 
            René-Charles Alary, C. 48 : Avocat, actif 
              en immobilier, homme à tout faire chez lui à la campagne. 
            Daniel Beaudoin, C. 66 : conseiller en placement 
              chez BMO Nesbitt Burns depuis presque 24 ans. Ses loisirs préférés 
              sont le sport (golf et ski), la lecture et, depuis quelque temps, 
              la peinture. 
            Jean Collard, C. 56, conseiller en gestion, amateur 
              de vélo. 
            Maurice Comeau, C. 56, Conseiller spirituel, curé 
              de la paroisse Saint-Sylvain à Laval depuis 7 ans. 
            Richard d’Auteuil, C. 57, gère son 
              vaste domaine forestier dans la belle région de Matane, très 
              actif dans les associations forestières et toujours présent 
              en politique municipale. 
            Bernard Downs, C. 59, administrateur d’un 
              immeuble en copropriété, fait du tutorat auprès 
              des jeunes, toujours actif dans le milieu de l’éducation. 
            Guy Dulude, C. 48, avocat, spécialiste 
              en arbitrage de griefs. 
            Pierre Labuissonnière, C. 68, gestionnaire 
            Serge Moquin, C. 68, gestionnaire, bien connu 
              à l’association comme collecteur de fonds. 
            Maurice Mousseau, C. 67, Avocat et chanteur à 
              ses heures. 
              
            Remonter 
             
            Meilleurs souvenirs du 
              collège
            Nous avons demandé à nos administrateurs, anciens 
              et nouveaux, de nous faire connaître leurs meilleurs souvenirs 
              du collège. A vous d’interpréter les réponses, 
              très variées et fort éloquentes …. 
            « Les cours de M. Gérard, du Père Vigneau, 
              du Père Saulnier, la chaleur de cette maison d’éducation, 
              la vie de famille que j’y ai vécue sans oublier les 
              midis passés chez le père Taché (« Bibitte 
              ») à veiller à la bonne santé des poissons 
              et autres habitants du labo de biologie ! La construction de cascades 
              en est la suite logique. » - Émile Robichaud 
            Les classes de Laurent Laplante, de Guy Bourgeault, de Raymond 
              Bourgault, les textes grecs et latins, la littérature française, 
              les Parascos, les Festivals, la bibliothèque, les jeunes 
              naturalistes, les scouts, le camp Bleu et Blanc, et puis ce panneau 
              qui fixait les philosophes en descendant au 5ième étage 
              : « Felix qui potuit rerum cognoscere causas », enfin 
              le collège même et les derniers tramways pour s’y 
              rendre. – Richard L’Heureux. 
            « Est-ce la journée de cabane à sucre mixte 
              à Saint-Hilaire autorisée par le père Réal 
              Lebel ou le père Bibitte nous faisant disséquer un 
              coeur de veau, ou le professeur de maths, monsieur Cadotte, qui 
              cultivait de pleins champs de roses et en parlait durant tout un 
              cours, ou le père Vigneault consacrant son samedi matin à 
              nous analyser l'édito du Devoir au lieu de nous servir un 
              contrôle comme le prévoyait le syllabus, ou quoi encore 
              les déplacements nord-sud sur le boulevard Saint-Laurent 
              abord de la 55 avec Jean-François Delage, etc., mais mes 
              deux années de Philo au Sainte-Marie, en sautant abord du 
              train en marche du Conventum 59, sont inoubliables au point d'y 
              revenir 45 ans après..." – Gilbert St-Louis 
            « Je me souviens plus de l'achat de mon premier bâton 
              de crosse que de ma première grammaire latine. Ma participation 
              très mineure a des soirées de Parascos, ma nomination 
              au poste de directeur du journal " Le Sainte-Marie", mes 
              années avec Les Chevaliers Bleus, mes missions avec les commandos 
              routiers, mes jobs d'été au Camp Bleu et Blanc demeurent 
              des souvenirs impérissables. » – Daniel Beaudoin. 
            « Les pères Brouillé et Delisle, le tour du 
              lac Saint-Jean avec les Routiers, la cérémonie de 
              prise des rubans puis celle des adieux à la Vierge à 
              l’église du Gesù, après huit années 
              au collège. – Bernard Downs. 
            « La soirée de la collation des grades à la 
              fin de la Philo II (1962) où parents, amis(ies) et finissants 
              partageaient les résultats des 8 ans de travail...bien accompli. 
              » - Serge Montplaisir. 
            « L'aspect communautaire de la vie du collège, le 
              climat favorable à l'apprentissage, la formation à 
              une ouverture sur le monde, le contact facile avec les profs. » 
              - Maurice Comeau. 
            « La compétence et le dévouement des professeurs 
              tant jésuites que laïques. » - René-Charles 
              Alary. 
            « Je n'ai pas seulement appris de mes études collégiales 
              et philosophiques, j'ai 
              aussi appris la débrouillardise et la fraternité grâce 
              au scoutisme, j'ai aimé jouer au théâtre, entre 
              autres avec Les Comédiens routiers. En résumé, 
              étant seul enfant de mes parents, j'étais 
              chez moi au collège. » - Jacques-Marie Gaulin. 
            « Le jour où, en versification, j'ai fait sourire 
              Adrien Léonard, préfet de discipline….. » 
              - Maurice Mousseau 
            Qu’est-ce que Maurice Mousseau a bien pu dire ou faire pour 
              dérider le Père Léonard ? Peut-être connaîtrons-nous 
              la réponse au prochain bulletin. Et vous, quels souvenirs 
              gardez-vous du collège ?  
              
            Remonter 
             
            Les anciens de Sainte-Marie 
              : 125 ans d’amitié et de fidélité.
            
            Nous sommes en 1882. Le collège Sainte-Marie a trente-quatre 
              ans et ses premières cohortes de bacheliers ont passé 
              le cap de la quarantaine. On imagine que les anciens élèves 
              commencent à constituer un groupe assez nombreux et certains 
              pensent à se regrouper en une association. Un des fondateurs 
              de l’association sera Alphonse Leclaire, qui en sera le premier 
              secrétaire . 
            Celui-ci écrit en 1882 au Père Félix Martin, 
              fondateur du collège, pour lui demander de présider 
              la première convention de la nouvelle association. Le Père 
              Martin, alors âgé de 78 ans, vit en France depuis 1861, 
              après dix-neuf années passées au Canada entièrement 
              consacrées au collège Sainte-Marie. Retiré 
              à Vaugirard, il est limité dans ses activités 
              par des problèmes de santé et c’est avec regret 
              qu’il décline l’invitation d’Alphonse Leclaire. 
              Le projet d’une association d’anciens du collège 
              est néanmoins bien lancé et l’association se 
              donne comme but de « renouveler et perpétuer les liens 
              d’amitié qui doivent le unir entre eux ; de réveiller 
              et fortifier l’amour filial qu’ils doivent avoir pour 
              leur alma mater comme aussi de lui aider à atteindre le but 
              qu’elle se propose dans l’éducation de la jeunesse. 
              »  
            L’organisation de l’association sera complétée 
              en 1884 avec l’appui du recteur Cazeau et depuis, l’AACSM 
              réunit les anciens du collège autour de leur alma 
              mater. L’association sera consultée au sujet des grandes 
              décisions touchant le collège ; elle apportera soutien 
              et financement à la construction du collège Brébeuf 
              dans les années 20, puis près de vingt ans plus tard, 
              à ce projet de gymnase du collège, qui ne connaîtra 
              pas de suite. C’est à l’initiative de leur aumônier 
              Joseph Bélanger, s.j. C. 08, que des membres de l’Association 
              allaient former le Club des Anciens, un groupe plus restreint qui 
              soutenait le rayonnement du collège, notamment par l’octroi 
              de bourses à des étudiants peu fortunés.  
               
              Depuis la fermeture du collège, la mission de l’association 
              s’est concentrée sur ses objectifs des rapprochement 
              entre les anciens mais reste fidèle à son devoir de 
              mémoire. C’est cette fidélité vieille 
              de bientôt 125 années que nous célébrerons 
              en 2007 !  
            Remonter 
              
             
            Autour d’un piano
             
              «Autour d’un piano», c’est le nom donné 
              par François Cousineau au groupe de confrères du conventum 
              59 qu’il invite chez lui pour échanger sur des sujets 
              personnels, professionnels et d’actualité.  
            À l’automne 2003, à l’occasion des retrouvailles 
              du conventum 59, François a lancé l’idée 
              de rencontres régulières pour favoriser des discussions 
              plus poussées et un partage des expériences de vie. 
              Depuis janvier 2004, une quinzaine de confrères se réunissent 
              chez lui cinq ou six fois par année. 
            Les rencontres ont lieu de 19 h 30 à 22 h. Elles se déroulent 
              en deux temps : une période de sujets libres suivie d’échanges 
              sur un thème qui a été déterminé 
              à la réunion précédente. Sans enfreindre 
              la règle de confidentialité adoptée par le 
              groupe, voici quelques-uns des thèmes abordés : nos 
              croyances, doutes et incroyances (Dieu, forces ou êtres supérieurs), 
              la souveraineté du Québec, la justice et notre perception 
              du système judiciaire, notre rapport à l’argent, 
              les relations de couple. Deux livres ont aussi été 
              l’objet de discussions, soit Le Da Vinci code, de Dan Brown 
              et «Il faut rester dans la parade» ou comment vieillir 
              sans devenir vieux, de Catherine Bergman. 
            Au fil du temps, la confiance s’est développée, 
              la «chimie» s’est améliorée, les 
              échanges ont gagné en authenticité et en profondeur. 
              Affinités et amitiés ont également suscité 
              des rencontres en groupes plus restreints et à l’extérieur 
              de ce cadre. 
            Des partages se sont tenus dans d’autres lieux comme à 
              la résidence secondaire de François Cousineau au lac 
              Memphrémagog, au chalet des Laurentides de Jacques D. Girard 
              et, le 16 septembre 2006, à la résidence secondaire 
              de Michel Perrault à Notre-Dame-du-Portage. Le prochain échange, 
              qui se tiendra en novembre chez Roger Bourdages, à Mercier, 
              portera sur la première partie concernant la vie dans Le 
              livre tibétain de la Vie et de la Mort de Sogyal Rinpoché 
              (disponible en format poche). 
            %203.png)  
            Rangée du bas: Richard Bergeron, Michel Perrault, François 
              Cousineau, Louis Famelart et Gilles Brunelle. 
              Rangée du centre: Jacques Grenier, Jacques Vallée 
              et Pierre Angrignon. 
              Rangée du haut: Jacques D. Girard, Lionel Hervieux, Jacques 
              Malboeuf, Bernard Downs et Roger Bourdages. 
              Absents: Jean-François Delage et Renault Gaudet. 
             
            À Notre-Dame-du-Portage, les conjointes étaient invitées. 
              En après-midi, les confrères ont discuté, entre 
              autres, de thèmes comme «faire ses deuils» et 
              «lâcher prise». Les conjointes se sont intégrées 
              au groupe pour l’apéritif offert par Suzanne et Michel 
              Perrault. Devant leurs conjointes émues, avec François 
              Cousineau au piano et Bernard Downs comme animateur, les treize 
              confrères présents ont chanté «Les trois 
              cloches», chanson immortalisée par les Compagnons de 
              la chanson. Chacun des trois couplets reprend les grandes phases 
              de la vie : le baptême et l'enfance, le mariage et la vie 
              adulte, la mort et l'éternité. Un souper gastronomique 
              a suivi à l’Auberge sur mer.  
              
            Louis Famelart, Jacques Grenier, président de la séance, 
              et François Cousineau chez lui. 
              
            Ces initiatives peuvent-elles servir d’inspiration à 
              d’autres conventums ?  
            Jacques D. Girard, C. 59 
            Remonter 
             
            Spécialité: 
              cascadeur! 
            
            
            Les pierres m’ont toujours fasciné – et l’eau 
              aussi – qu’elles ont le don de faire chanter! 
            Depuis trente ans, j’entendais le clapotis du lac, mais il 
              manquait à mon bonheur le murmure de l’eau d’une 
              cascade, d’une cascade de mon cru, dont je modulerais le chant… 
            Chaque cascade a son diapason, son registre, et ce sont les pierres 
              qui en décident ! La recette est simple et les ingrédients 
              sont connus : des pierres, de l’eau et du travail, beaucoup, 
              beaucoup de dur et patient travail ! 
            Une fois dûment renseigné : livres de référence, 
              revues spécialisées, consultation des experts, il 
              ne reste plus qu’à se mettre à l’ouvrage. 
              Et c’est «de la grosse ouvrage» ! Trente ans de 
              durs labeurs de construction et de terrassement m’avaient 
              préparé à ce nouveau «contrat» 
              ! La construction d’une cascade exige de bonnes connaissances 
              «générales» : plomberie, électricité, 
              et quelques connaissances «particulières» : mise 
              en place de la membrane imperméable, des toiles géotextiles, 
              de la canalisation d’eau. 
             
              Le bassin inférieur
            L’emplacement choisi comportait une difficulté sérieuse 
              : il fallait arrimer la membrane imperméable (et la géotextile) 
              à une paroi rocheuse. La photo ci-jointe illustre bien la 
              solution retenue : percer le roc, y insérer des chevilles 
              de plomb pour y fixer un support de P.V.C. auquel un autre support 
              de P.V.C. fixerait la membrane, ce qui fut fait… et réussi 
              ! Le bassin inférieur prenait ainsi forme après creusage, 
              «arrondissement» des arêtes rocheuses à 
              la masse et construction d’un mur de retenue, de façon 
              à ce que le bassin ait une profondeur moyenne de 50 cm (20 
              pouces) et un volume d’eau de 1 500 litres, essentiel à 
              un pompage de 20 000 litres/heure. Rassurez-vous : le bassin ne 
              se videra pas : l’eau pompée… revient dans le 
              bassin par la cascade ! 
            
            La cascade
            Dénivellation : trois mètres sur une longueur de 
              six mètres. C’est ici que commence le travail «d’harmonie» 
              : il faut disposer les pierres une à une pour que le chant 
              de la cascade réponde à nos attentes ! C’est 
              une pente : il faut que les pierres tiennent sous la poussée 
              de l’eau ! Poser, enlever, reposer des pierres : les cascades 
              ne chantent pas sur simple demande ! 
            Les bras se fatiguent, la patience s’épuise mais les 
              pierres restent… de pierre ! 
            Branché à la pompe dissimulée au fond du bassin, 
              un tuyau de un pouce et quart (3,2 cm : donnée inconnue en 
              plomberie québécoise !) court sous la membrane de 
              la cascade (car il y a une membrane imperméable là 
              aussi !) jusqu’au sommet de la cascade : là, des soupapes 
              assurent la répartition de l’eau dans la cascade principale 
              et les deux cascades «secondaires» : celle qui coule 
              du rocher dans le bassin et d’autre qui se verse dans la cascade, 
              à mi-course de celle-ci. Un système de soupape branché, 
              lui, au système de la maison, assure par son apport d’eau 
              au besoin, le niveau constant du bassin. 
             
              Les grenouilles, les oiseaux, les poissons et les plantes
            Jour et nuit, la cascade chante : à peine quelques jours 
              après la mise à l’eau du bassin, les grenouilles 
              sont arrivées ! En mai et juin, elles chantent, elles aussi 
              ! Et avec quelle ardeur !  
            Les petits poissons rouges «de bocal», achetés 
              il y a trois ans, sont devenus… de grosses carpes ! Des carpes 
              qui passent l’hiver… à Laval, because… 
              le bassin gèle ! 
            Les plantes ont grandi : les papyrus, eux passent l’hiver 
              au chaud, dans la maison et, au printemps, rejoignent poissons et 
              oiseaux dans le bassin. Oiseaux ? Eh oui ! Parce que les oiseaux 
              ont fait de la cascade… leur bain d’oiseaux ! La cascade, 
              le bassin, c’est tout un monde à découvrir ! 
              Parcourir les revues spécialisées pour mieux connaître 
              les plantes immergées, semi-immergées, flottantes, 
              les plantes de milieux humides. Découvrir la complexité 
              de la «concurrence alimentaire» : qui, des plantes «aimées» 
              ou des algues… «détestées», aura 
              le dessus dans le bassin ? De la réponse à cette question 
              dépend la pureté de l’eau et donc la beauté 
              du bassin. Les plantes oxygénantes assurent la bonne santé 
              des bassins à condition que la pompe fasse sa part elle aussi 
              ! L’équilibre ! 
            
            Le travail des mains m’aura, depuis trente ans, apporté 
              équilibre et plaisir. On éprouve une grande satisfaction 
              à créer un milieu vivant sain, mais combien fragile 
              ! À construire aussi, et à aménager : poser 
              une moulure «o’gee» à la perfection (coins 
              intérieurs et extérieurs réussis !), mettre 
              en place des quais qui résistent aux grands vents du nord, 
              installer un système d’irrigation, construire un escalier 
              à «trois volets», autant de défis stimulants 
              pour des esprits qui risquent de se perdre dans les dédales 
              des normes, des conventions collectives, des programmes. L’équilibre 
              ! 
            Ma plus belle «évaluation» ? En voyant des photos 
              de mon «paysagement», mon fournisseur de matériaux 
              de Sainte-Agathe, ignorant mon occupation principale m’a dit 
              : Ça, c’est du travail professionnel. J’ai deux 
              contrats pour toi à Saint-Donat» ! C’est mieux… 
              qu’un grief ! 
            P.S. Besoin de renseignements techniques pour vous lancer dans 
              l’aventure ? Donnez-moi un coup de fil ! 
            
             Émile Robichaud 
               
              (514) 735-4881 
              (450) 661-3237 
 
              
Remonter 
             
            Les anciens publient…..
              
            Simon RICHER, C. 50, Le chant de l'enclume (le) : portraits 
              d'héritages vivants , aux éditions Liber, coll. 
              Figures libres. 
            Pierre CAMU, C. 42, Le Saint-Laurent et les grands lacs au 
              temps de la vapeur, 1850 – 1950., aux éditions 
              Hurtubise – HMH. 
            Ce volume que nous avions recensé de façon incomplète 
              dans le précédent numéro fait suite à 
              un autre ouvrage de notre confrère, Le Saint-Laurent 
              et les Grands Lacs au temps de la voile, 1608 – 1850, 
              également publié chez Hurtubise – HMH en 1996. 
            
              
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            En bref
             
              Vie des conventums
            Les réunions de conventum vont bon train cette année. 
              Le conventum 48 se réunit le 17 octobre au local des Fusiliers 
              Mont-Royal. Le conventum 49 prévoir se rencontrer cet automne 
              à l’initiative des plus actifs de ses membres, Jean-Louis 
              Lalonde et Ulysse Desrosiers. Le conventum 59 se réunira 
              le 29 novembre dans un restaurant de Notre-Dame-de-Grâce qui 
              reste à déterminer. Le conventum 55 a réuni 
              a tenu sa réunion le mardi 26 septembre au restaurant La 
              Gaudriole. Les anciens du conventum 56 se reverront pour leur réunion 
              quinquennale au restaurant le Bordelais 12 octobre. Au moment d’aller 
              sous presse, nous attendons des nouvelles des autres conventums 
              dont c’est la date anniversaire, soit les conventums 51 et 
              61. Il est encore temps…. 
            Centre de créativité du Gésu
            Les Jésuites célébraient leur année 
              jubilaire au Centre de créativité du Gésu entre 
              le 22 septembre et le 8 octobre 2006 sous le thème « 
              Agir, c’est prier.» Au programme, des expositions tableaux, 
              dessins, photographies d’artistes jésuites. Des conférences 
              sur le thème de l’art et la spiritualité, sur 
              le vaudou et le chritianisme en Haïti, un spectale de danse 
              donné par un jésuite indien afin de faire connaître 
              la danse classique de son pays, expression de l'héritage 
              religieux et philosophique de l'Inde. Le programme incluait également 
              un concert de la chanteuse Karen Young sur le thème « 
              Âme et désir », un concert de musique jésuite 
              donné par l’ensemble vocal classique Xavier Consort 
              et plusieurs autres événements. 
            On en saura plus sur les événements à venir 
              en consultant le site du centre de créativité du Gesu, 
              à l’adresse : www.gesu.net. 
             
               
            Remonter 
                
            Le carnet 
            Hugues Beauregard, C. 60, endocrinologue, s’est 
              vu décerner le prix régional 2005 du Collège 
              Royal des médecins chirurgiens du Canada, qui souligne l’excellence 
              de l’associé du Collège royal en tant qu’éducateur 
              médical, pour services remarquables rendus à la communauté 
              et au Collège royal.  
            Bernard Blair, s.j. C. 60, après avoir 
              servi pendant plusieurs années comme conseiller spirituel 
              de l’association, vient d’être nommé supérieur 
              de la résidence des Jésuites « Jacques Couture 
              » à Québec. 
            Louis Boudrias, C. 57, est heureux de pouvoir 
              consacrer plus de temps à l’achat et à la vente 
              de tableaux, maintenant qu’il a tiré le rideau sur 
              sa carrière dans la mode masculine. Louis souhaiterait bien 
              avoir l’occasion de rencontrer d’autres collectionneurs. 
              Avis aux intéressés! 
            Maurice Da Sylva, C. 42 continue de collaborer 
              à la revue Pierres vivantes. Toujours inspiré par 
              la pensée de Lanza del Vasto, il poursuit également 
              sa collaboration à la revue Échanges de l’Arche 
              du Québec. On lira d’ailleurs avec intérêt 
              l’article de Maurice da Silva sur Lanza del Vasto inscrit 
              sur le site WEB de l’encyclopédie de l’Agora. 
            Germain Derome, C. 63, vient de célébrer 
              ses vingt-cinq années comme professeur de philosophie au 
              collège Brébeuf et enseigne toujours le grec ancien 
              à l’Université de Montréal. 
            René Doucet, C. 55, professeur honoraire 
              de l’école des Hautes Études Commerciales, dirige 
              un comité de citoyens qui travaille au jumelage de North 
              Hatley avec le village français d’Eymet en Dordogne. 
              Il gère toujours, avec son épouse, un gîte touristique 
              de prestige au lac Massawippi et consacre ses loisirs à la 
              peinture et au dessin. 
            Maurice Falardeau, C. 52, médecin à 
              la retraite, de St-Bruno, demeure très actif socialement, 
              s’impliquant en particulier au sein du comité de justice 
              sociale de St-Bruno et au Regroupement des organismes communautaires 
              de St-Bruno. Il est aussi administrateur au Conseil local de développement 
              de Longueuil. 
            Louis Fournier, C. 62, a récemment pris 
              sa retraite de la FTQ où il était directeur des communications. 
              Une bonne partie du temps ainsi retrouvé fut consacrée 
              la lecture de « La recherche du temps perdu ». Lire 
              un roman de sept tomes, c’est déjà toute une 
              entreprise, mais avec les nombreux écrits déjà 
              à son actif, parions que notre confrère se remettra 
              lui-même à la plume sous peu!  
            Maurice Forget, C. 64, reste fidèle aux 
              traditions sportives du collège. Avec d’autres anciens 
              de son conventum comme Claude Bertrand et Claude Famelart, il « 
              œuvre » au sein de l’équipe des « 
              boys » de St-Eustache, une équipe de vétérans 
              on ne peut plus sérieuse puisqu’elle joue 82 matchs 
              par saison! Avec tous ces anciens de Ste-Marie sur les rangs, l’équipe 
              finira bien par s’appeler les « Bleus » de St-Eustache. 
            André Lacroix, C. 66, médecin endocrinologue, 
              exerce aussi les responsabilités de chef du département 
              de médecine du CHUM, professeur titulaire de médecine 
              à l’Université de Montréal et président 
              de la Société canadienne d’endocrinologie et 
              métabolisme. 
            Jacques L’Heureux, C. 52, vient d’être 
              nommé professeur émérite en droit de l’Université 
              Laval. Cette nomination consacre une carrière de plus de 
              vingt ans comme professeur en droit municipal et urbain, en droit 
              administratif ainsi qu'en histoire du droit et des institutions. 
              M. L’Heureux s’est aussi distingué par de nombreuses 
              publications dont un traité de droit municipal qui fait autorité 
              en la matière. 
            Pierre Marois, C. 58, toujours président 
              de la Commissions des droits de la personne et des droits de la 
              jeunesse, exprime sa fierté d’appartenir à un 
              conventum aussi riche de talents artistiques que le sien, qui nous 
              a donné ces grands noms que sont Denys Arcand, Pierre Létourneau 
              et Stéphane Venne. Il évoque aussi la mémoire 
              de cet autre confrère de conventum, l’avocat Pierre 
              Lapointe, disparu en 2004, dont il garde le meilleur souvenir. 
            Louis Ménard, C. 67, nous apprend que le 
              « Dictionnaire de la comptabilité et de la gestion 
              financière » publié sous sa direction, a reçu 
              le prix spécial du jury décerné lors du Grand 
              Gala des mérites du français, dans le cadre de la 
              10ième Francofête, en mars dernier. 
            Louis-Jacques Ménard, C. 64, s’est 
              vu décerner un doctorat honoris causa par l’Université 
              Concordia, en reconnaissance de son engagement au sein de la communauté. 
              Louis-Jacques Ménard est président de BMO Groupe financier, 
              Québec. À ce titre, il dirige les activités 
              de la Banque de Montréal au Québec.  
            Claude Parent, C. 58, terminait en mai dernier 
              un mandat de dix mois à titre de directeur de la Mission 
              internationale d’évaluation des élections en 
              Haïti. À ce titre, il dirigeait une équipe de 
              200 personnes venues de plusieurs pays, afin de soutenir le peuple 
              haïtien dans sa marche vers la démocratie. 
            Michel Parent, C. 67, a été élu 
              en novembre dernier, vice-président du Conseil des traducteurs, 
              terminologues et interprètes agréées du Canada 
              (CTTIC). Comme directeur du Service de traduction du Bureau du Conseil 
              privé, il a eu récemment la responsabilité 
              de dossiers particulièrement délicats, soit l’enquête 
              Gomery, l’affaire Arar et le procès d’Air India. 
            André Provost, C. 54, est depuis décembre 
              2005 récipiendaire de l’Ordre du Mérite de l’Université 
              du Troisième Âge décerné par la Faculté 
              d’éducation de l’Université de Sherbrooke. 
            Roland Reid, C. 38, nous fait part de son regret 
              de voir partir son ami Jacques Champagne, qui nous a quittés 
              depuis peu (voir la chronique « Passons sur l’autre 
              rive… »), avec lequel il était lié depuis 
              les premières années du collège, une amitié 
              de près de trois quarts de siècle! 
            Gontran Rouleau, C. 49, a quitté sa retraite 
              récemment pour présider une séance du tribunal 
              de l’Association des courtiers en valeurs mobilières 
              (ACCOVAM). Il donne aussi des conférences sur la médiation 
              en matière civile et commerciale, dans des pays aussi différents 
              que la France, la Syrie et la République d’Irlande. 
             
             
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Passons sur l'autre rive (Marc 
              3,35)
              
            Antoine Biron, C. 27, avocat, C.R., décédé 
              à Drummondville. 
            Henri Saey, C. 28, prêtre séculier, 
              décédé à Montréal le 28 juillet 
              2006. 
            Bruno Angers, C. 37, assureur, décédé 
              à St-Lambert le 4 juin 2006. 
            Marcel Laplante, C. 37, gynécologue, décédé 
              à Montréal le 26 juillet 2006. 
            Jacques Champagne, C. 38, médecin, décédé 
              à St-Sauveur-des-Monts le 22 mars 2006. Obstétricien, 
              il avait fondé le département d’obstétrique 
              de l’hôpital de St-Jérôme. 
            François La Mothe, C. 39, médecin, 
              décédé récemment à Montréal. 
            Gérard Beaudoin, C. 40, médecin 
              psychiatre, décédé à Montréal 
              le 14 février 2006. 
            René Lagacé, C. 42, médecin, 
              décédé à Verdun le 4 mars 2006. 
            Marc Thibault, C. 42, ancien professeur au collège 
              et directeur de l'information de Radio-Canada, décédé 
              à Montréal le 12 mars 2006. 
            Donat Perreault, C. 44, décédé 
              à Montréal le 9 août 2006. 
            Jean-Paul Ouellet, C. 45, prêtre séculier, 
              décédé à Montréal le 21 mai 2006. 
            Georges Pépin, C. 47, prêtre séculier, 
              décédé à St-Hyacinthe le 3 août 
              2006. 
            Marcel Camirand, C. 48, comptable, décédé 
              à Longueil le 17 août 2006. 
            Jean-Claude Delorme, C. 53, avocat, décédé 
              à Montréal le 7 septembre 2006. Il avait été 
              président de Téléglobe Canada, ainsi que de 
              la Caisse de Dépôt et de Placement du Québec, 
              en plus d’œuvrer pour de nombreux organismes dans le 
              domaine des arts, de l’éducation et des affaires. 
            Claude Constantineau, C. 54, notaire, décédé 
              à Ste-Agathe le 11 septembre 2006. 
            Robert Petitpas, C. 54, décédé 
              à Sorel le 20 juin 2006. 
            Pierre Lambert, C. 55, ingénieur, décédé 
              à Montréal le 28 mars 2006. 
            Jean-Paul Guérard, C. 56, ajusteur d’assurances, 
              décédé à Yurimagas (Pérou) le 
              9 mai 2006. 
            Paul Dostaler, s.j., décédé 
              à St-Jérôme le 21 février 2006. Professeur 
              au collège de 1954 au collège de 1948 à 1969, 
              il fut par la suite aumônier chez les Frères de l’Instruction 
              chrétienne à La Prairie jusqu’en 1998. 
            Laval Girard, s.j., décédé 
              à St-Jérôme le 12 juin 2006. Il avait été 
              professeur d’abord au collège St-Ignace de 1952 à 
              1954, puis au collège de 1955 à 1969 pour ensuite 
              assumer la tâche de préfet de l’église 
              du Gésu de 1969 à 2000.  
            Paul Morisset, s.j., décédé 
              à St-Jérôme le 6 mai 2006. Il avait été 
              professeur au collège de 1962 à 1968. Il avait par 
              la suite fondé puis dirigé de 1968 à 1980 le 
              Centre Incroyance et Foi . À partir de 1981, le père 
              Morisset s’était consacré à la prédication 
              de retraites. 
             
              
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