Le mot du president 
              Carnet 
              Laisser des traces (R. L’Heureux) 
              Passons sur l'autre rive 
             Le mot du Président
            Shakespeare, Mercure et autres considérations 
            Une fête annuelle réussie, un site Internet fréquenté 
              et des Anciens enthousiastes ! L’Association des Anciens du 
              Sainte-Marie vogue allègrement vers son 200e anniversaire. 
            Mais vous aimeriez participer encore plus «intimement» 
              à cette merveilleuse aventure. Qu’à cela ne 
              tienne ! Présentez-vous à la prochaine assemblée 
              générale à 11 heures le 12 octobre prochain 
              au Gesù (ne pas confondre avec la Fête annuelle du 
              mois de mai) et faites profiter l’Association de vos idées 
              et, pourquoi pas, de votre candidature au conseil d’administration. 
            Le buffet servi après la réunion vous permettra de 
              retourner au bureau — ou au golf ! — à l’heure 
              prévue, avec un enthousiasme renouvelé. Au fait, avez-vous 
              payé votre cotisation 2001 et visité notre site Internet ? 
              Votre cotisation, c’est le « To be or not to be » 
              de l’Association et le site Internet, son Mercure ! 
            Émile Robichaud 
            Remonter 
             
            Le carnet
            C. 27 Roger Larose, l’un des plus anciens 
              de nos anciens, nous écrit d’Outremont cette confidence : 
              «J’ai 90 ans et je passe encore souvent devant le mur 
              de pierre de la rue de Bleury. C’est encore mon alma mater.» 
            C. 36 Wilfrid J. Fortier habite Biddeford, 
              dans le Maine. Il a organisé une campagne de financement 
              pour rénover le local de sciences de l’école 
              privée St-James. Avec les 30 000 $ recueillis, on a pu refaire 
              le plancher, installer de nouveaux lavabos et renouveler l’équipement. 
              Des parents ont même offert un tout nouveau squelette. 
            C. 41 Guy Girardin, de Saint-Marc-sur-Richelieu, 
              nous confie qu’il est maintenant un rentier… paresseux. 
            C. 42 Maurice da Silva, d’Outremont, 
              a rédigé un article intitulé «La Communauté 
              de Route Charles-de-Foucault de Montréal, 1945-1960» 
              pour un numéro spécial de la revue Échanges, 
              nos 33-34, septembre 2000 et janvier 2001. Cette revue se consacre 
              à la descendance spirituelle de Charles de Foucault au Québec 
              aujourd’hui. 
            C. 42 Gaston Rondeau, de Marieville, préside 
              depuis 1993 l’Association des juges retraités du Québec. 
              De plus, il a été nommé président d’honneur 
              des fêtes du 200e anniversaire de Marieville qui se tiennent 
              en 2001. 
            C. 48 Louis Balthazar, de l’Université 
              Laval, a reçu, à l’automne 2000, une bourse 
              Fullbright pour l’enseignement et la recherche, du Bridgewater 
              State College au Massachusetts. 
            C. 50 Léo Côté, de Ville 
              Lasalle, est secrétaire de l’Association des aînées 
              et aînés francophones du Canada. 
            C. 51 Pierre Tanguay, d’Aylmer, a été 
              au service du gouvernement canadien pendant une trentaine d’années. 
              Il a été notamment vice-président à 
              l’Agence canadienne de développement international 
              (ACDI), ambassadeur au Guatemala et au Honduras, ambassadeur auprès 
              de la Francophonie à Paris. «J’ai, écrit-il, 
              célébré le nouveau millénaire en prenant 
              ma retraite, pour jouer au golf et me lancer dans l’art culinaire…» 
            C. 53 Gilles Bernier, de Saint-Georges de 
              Beauce, est revenu au Canada en août dernier après 
              avoir terminé un mandat de quatre ans comme ambassadeur du 
              Canada en Haïti. 
            C. 53 Bernard Courteau est depuis deux ans 
              professeur retraité de l’Université de Sherbrooke. 
              Il a été président de l’Association mathématique 
              du Québec de 1993 à 2000. En décembre de l’an 
              dernier, il a reçu le prix Adrien-Pouliot de la Société 
              mathématique du Canada. Ce prix est décerné 
              annuellement depuis 1995 pour une contribution importante et soutenue 
              à l’enseignement des mathématiques. 
            C. 55 André Brunet, résidant 
              à l’Île-des-Sœurs, exerce sa spécialité 
              de gérontopsychiatre à l’hôpital Jean-Talon 
              de Montréal ainsi qu’à l’Hôtel-Dieu 
              de Saint-Hyacinthe. Il écrit : «Je songe à 
              la retraite, mais quand on aime ce que l’on fait et que de 
              plus on rend service aux gens âgés en atténuant 
              leurs souffrances morales… c’est une décision 
              qu’il est très difficile de prendre.» 
            C. 55 Yvon Lussier a célébré 
              le 27 mai dernier son 40e anniversaire de vie sacerdotale. Il est 
              toujours actif comme pasteur curé à la paroisse Saint-Albert-le-Grand 
              de Rosemont. 
            C. 56 Arthur Amyot est membre du comité 
              exécutif ainsi que du Conseil de l’Université 
              de Montréal. À l’hôpital du Sacré-Cœur, 
              il est à la fois responsable de l’enseignement et des 
              activités académiques du département de psychiatrie 
              et directeur adjoint de la recherche au même département. 
              Il réside à Outremont. 
            C. 57 Guy Pinard, habitant Brossard, déclare 
              être maintenant à la retraite après 40 ans de 
              service au journal La Presse. Heureusement, on peut encore lire 
              occasionnellement les articles qu’il rédige à 
              titre de pigiste 
            C. 59 Jacques D. Girard est travailleur autonome 
              à Montréal. Il vient d’adapter pour le Canada 
              Merveilles et secrets de la langue française, un livre de 
              500 pages publié en 2001 par Sélection du Reader’s 
              Digest. Entre autres merveilles, cet ouvrage donne l’étymologie 
              et trace les changements de sens d’environ 6000 noms communs, 
              ainsi que de quelque 1700 noms de famille choisis parmi les plus 
              fréquents au Québec. 
            C. 59 Claude Vaillancourt nous a expédié 
              la missive suivante par courriel. « Il fait bon de découvrir 
              le site Internet de mon Alma Mater après quelques années 
              d'exil dans la Vieille Capitale. Je me souviens avoir quitté 
              Montréal en 1959 pour suivre ma famille vers une nouvelle 
              ville, pour m'y faire de nouveaux amis... Une nouvelle vie quoi 
              ! Lorsque je me retrouve à Montréal, je retourne faire 
              les cent pas sur la rue de Bleury. Je me surprends même à 
              l'accasion à jeter un coup d'oeil dans notre vénérable 
              chapelle du Gesù, la seule à avoir résisté 
              au pic des démolisseurs. Vive le progrès? Je prends 
              donc avec plaisir quelques moments arrachés à une 
              confortable retraite pour saluer tous mes chers confrères 
              qui comme moi ont hanté les sombres corridors du Collège, 
              parfois même les interminables souterrains qui reliaient le 
              Collège au Gesù. Je lève mon verre à 
              votre santé et vous salue respectueusement ! Au plaisir de 
              vous revoir un jour ! POUR CEUX QUI POURRAIENT AVOIR DU TEMPS: 
              bacchus999@hotmail.com .» 
            C. 60 Bernard Bélair est devenu, au 
              printemps de 2001, supérieur du Gesù et directeur 
              général des Salles du Gesù. Il siège 
              également à titre d’aumônier au conseil 
              d’administration de l’Association des anciens élèves 
              du collège Sainte-Marie. 
            C. 62 Gérald Bernier et Louis Fournier 
              préparent déjà la prochaine réunion 
              de leur conventum qui aura lieu en 2002. Voir leur communiqué 
              publié sous la rubrique «Vie des conventums». 
            C. 62 Michel Bourgault nous a écrit 
              ce qui suit via Internet. «C'est avec un grand plaisir que 
              j'ai visité le site des Anciens du Collège. Félicitations 
              à toute votre équipe! Je sais combien de temps il 
              faut consacrer à pareil projet, aussi je vous admire d'avoir 
              réussi à le mettre sur pied. Je crois que nous avons 
              là un moyen adapté à la vie d'aujourd'hui de 
              garder vivante la tradition du Sainte-Marie. 
            Comme nouvelle pour le Bulletin, j'aimerais signaler que j'ai participé 
              au Colloque de la Société des Études Anciennes 
              du Québec, tenu à l'UQAM au mois d'avril. La réunion 
              regroupait une trentaine de professeurs de tous les niveaux intéressés 
              à l'enseignement de l'histoire et des langues anciennes. 
              On y a fait le point sur l'enseignement du latin et le pronostic 
              était assez désolant. Au Québec, le latin est 
              en perte de popularité ou en voie de disparition dans plusieurs 
              institutions. Pour ma part, j'ai fait un compte-rendu d'un cours 
              de latin que je donne en activité parascolaire depuis 3 ans 
              à l'école secondaire Thérèse-Martin 
              (Joliette). Bon an mal an, j'initie environ 5 élèves 
              au latin. J'ai essayé sans succès d'intéresser 
              de jeunes enseignantes ou enseignants de français surtout. 
              À deux ans de ma retraite officielle, le site Internet du 
              Village Emmaüs et ce projet de cours de latin me permettent 
              d'entrevoir une deuxième vie...» 
            C. 62 Roch Denis a été nommé 
              en juin dernier recteur de l’Université du Québec 
              à Montréal. Il possède une longue expérience 
              du milieu universitaire, à titre, entre autres, de professeur 
              de science politique à l’UQAM, de président 
              de la Société québécoise de science 
              politique et de président de la Fédération 
              québécoise des professeurs d’université. 
              Il a publié récemment le livre Les défis de 
              l’université au Québec. 
            C. 64 Luc Pilon, de Saint-Lambert, le dynamique 
              chef adjoint du Service d’orthopédie de l’hôpital 
              Saint-Luc, a présidé le 27 mai dernier la marche orthopédique 
              Hip Hip Hourra sur le belvédère de la place Ville-Marie. 
              Il souhaite ardemment qu’en 2002, les anciens, anciennes et 
              leurs familles qui ont bénéficié de chirurgie 
              orthopédique se joignent à cette marche bénéfice, 
              symbole de la reprise de mobilité après une opération. 
              Nous vous tiendrons informés de l’événement, 
              notamment au moyen du site Internet. 
            C. 64 Réal Rodrigue, comme notre ami 
              Jacques D. Girard, s’intéresse à la généalogie. 
              Il est vice-président et webmestre de l’Association 
              des familles Rodrigue et éditeur du bulletin de liaison de 
              cette association. Bibliothécaire aux services informatisés 
              du Service des bibliothèques de l’UQAM, il est à 
              ce titre webmestre des bibliothèques de l’UQAM. Il 
              habite le Nord de Montréal. 
            C. 65 Réal Lalande demeure à 
              Ottawa et il travaille pour l’Unité d’appui au 
              programme de coopération canadien (UAPC) situé à 
              Port-au-Prince en Haïti. 
            C. 66 André Lacroix, de Saint-Lambert 
              est directeur du programme d’endocrinologie à l’Université 
              de Montréal. Il est membre du conseil d’administration 
              de la Société d’implantation du centre hospitalier 
              universitaire de Montréal (CHUM). 
            C. 67 Gilles Lépine vit à Saint-Hyacinthe. 
              Il occupe le poste de directeur général du cégep 
              Marie-Victorin et il préside l’Association provinciale 
              des directeurs généraux de cégeps. Il est aussi 
              vice-président de l’hôpital Louis-Hippolyte-Lafontaine 
              et membre du comité exécutif du Conseil régional 
              de développement de l’Île de Montréal. 
              De plus, il préside le Gala d’honneur au mérite 
              de la Chambre de commerce et de l’industrie de l’Est 
              de l’Île de Montréal. 
            C. 68 Jean-Pierre Plante, humoriste d’Outremont, 
              nous annonce qu’il est maintenant questeur urbain et édile 
              curule. C’est peut-être pourquoi il dit avoir aussi 
              gagné le prix Nobel de curling… 
            Remonter  
             
            Laisser des traces…
            « Une image vaut mille mots… » Oui 
              mais, quelquefois, c’est l’inverse… Une image 
              décrit certes fort bien l’apparence, les formes, les 
              couleurs d’une personne, d’un objet ou d’un paysage. 
              Mais au-delà de la réalité visuelle, n’y 
              a-t-il pas d’autres aspects de la vie, d’une situation, 
              qui peuvent difficilement se transmettre autrement qu’avec 
              des mots. 
            Cette réflexion m’est venue à la lecture d’un 
              passage des Relations des Jésuites, ces rapports qu’écrivaient 
              ces missionnaires vivant au Canada pour rendre compte à leurs 
              supérieurs de leurs activités et de leurs observations. 
              Je suis tombé sur le récit du voyage du père 
              Charles Albanel à la baie James. Parti de Québec en 
              canot en 1671 avec un groupe d’Indiens et de Français, 
              il remonte le Saguenay depuis Tadoussac jusqu’au lac Saint-Jean. 
              De là, le voyage se poursuit jusqu’au lac Mistassini 
              d’où le missionnaire et ses compagnons descendent la 
              rivière Nemiscau (Rupert) jusqu’à la baie James, 
              périple qui s’étend sur plusieurs mois. 
            Arrivé à l’eau salée, Albanel rencontre 
              les Kilistinons maintenant appelés Cris. Précédés 
              de leur chef, ils viennent au-devant du missionnaire. « Le 
              Capitaine me prend d’une main et de l’autre se saisit 
              de mon aviron…», raconte Albanel. « Mon aviron », 
              dit-il. Si Albanel avait son propre aviron, c’est qu’il 
              devait s’en servir. On se représente volontiers le 
              Jésuite d’autrefois, assis au fond du canot, pensif 
              ou observant les lieux, voire lisant son bréviaire pendant 
              que les autres pagayent. Mais qu’il pagaie lui-même 
              comme les autres, ça c’est moins évident… 
              Ces hommes ne faisaient donc pas qu’enseigner ou prêcher, 
              ils devaient mettre l’épaule à la roue, pagayer 
              même, eux aussi. Par-delà les trois siècles 
              qui séparent la lecture de ce passage de sa rédaction, 
              ce récit m’a peut-être aussi frappé du 
              fait que j’ai visité cette partie de la baie James. 
              J’ai alors pu comprendre que la vie des habitants de cette 
              région, il y a à peine cinquante ans, n’était 
              pas tellement différente de celle décrite par le père 
              Albanel au XVIIe siècle. Une vie qui tourne autour de la 
              chasse, de la pêche et de la traite des fourrures. 
            Je me dis aussi que les Relations des Jésuites sont un des 
              principaux documents qui décrit, au jour le jour, la vie 
              telle qu’elle se passait au Canada à l’époque 
              où les Français s’y implantaient. Les Jésuites 
              d’alors écrivaient pour leurs supérieurs et 
              pour leurs confrères, sans probablement se douter que leurs 
              récits intéresseraient encore des lecteurs quatre 
              siècles plus tard. D’où l’importance de 
              laisser des traces, sinon pour les générations futures, 
              du moins pour ceux qui viendront immédiatement après 
              nous. On laisse volontiers des photographies, des films vidéo, 
              mais des écrits, c’est moins fréquent de nos 
              jours. Pourtant, ils peuvent être tellement plus évocateurs. 
            Vous étiez vivant à l’époque de la deuxième 
              guerre mondiale ? Comment voyait-on l’avenir dans ces années-là 
              ? Nous avons tous vécu les longues années de guerre 
              froide. Qui aurait pensé, il y a 25 ans, que la guerre froide 
              allait graduellement s’éteindre au cours des dix dernières 
              années ? Quels étaient les points forts de la vie 
              de collégien au moment où vous fréquentiez 
              le collège ? Autant de sujets d’observation, de réflexion, 
              à évoquer au moyen de l’écriture.  
            Certains anciens, dont récemment Jean-Louis Roux par exemple, 
              ont publié l’histoire de leur vie. Marguerite Lescop 
              a connu un grand succès de librairie avec le simple récit 
              de sa vie de mère de famille. Sans aspirer à des succès 
              comparables, chacun de nous pourrait consigner certains moments, 
              tristes ou gais de la vie, décrire la façon dont nous 
              voyions le monde à certains moments précis de notre 
              existence. Si ça ne devait servir qu’à nos enfants, 
              à nos petits-enfants, ce serait déjà fort utile. 
              Peut-être même serions-nous les premiers à en 
              tirer profit…  
            Richard L’Heureux, C. 62 
            Remonter 
             
            Passons sur l’autre rive (Marc 
              3,35) 
            Florian Larivière, s.j., ancien recteur 
              du collège, décédé le 11 mai 2001. 
              Florian Larivière naît en 1918 à Joliette et 
              il fait naturellement ses études classiques au séminaire 
              local, dirigé par les Clercs de Saint-Viateur. À la 
              fin de son cours, à la surprise de tous, il décide 
              d’entrer chez les Jésuites et devient prêtre 
              en 1950. Après une dizaine d’années d’enseignement, 
              il fait surtout carrière dans l’administration : 
              recteur du collège Garnier à Québec, puis du 
              collège Saint-Ignace, il fut le dernier recteur jésuite 
              du collège Sainte-Marie. Il fut aussi pendant trois ans président 
              de la Fédération des collèges classiques. On 
              pourra lire dans la revue Jésuites canadiens un article fort 
              intéressant rédigé par Rémi Potvin, 
              s.j.  
            Gilles Lefebvre, C. 41, décédé 
              le 27 mai 2001. 
              On l’a surtout connu comme le père des Jeunesses musicales 
              du Canada, mais il était avant tout musicien. Animateur de 
              premier ordre, il crée en 1950 le camp des Jeunesses musicales, 
              devenu aujourd’hui le Centre d’art Orford. C’est 
              lui qui, à titre de directeur artistique associé, 
              planifie le Festival mondial de l’Exposition universelle de 
              Montréal en 1967. Par la suite, il a été tour 
              à tour directeur du Centre culturel canadien à 
              Paris, directeur associé au Conseil des arts du Canada et 
              enfin, de 1991 à 1999, président du Conseil des arts 
              de la Communauté urbaine de Montréal. On relira avec 
              intérêt l’article que François Tousignant 
              lui a consacré dans Le Devoir du 29 mai 2001, accessible 
              à l’adresse Internet suivante : http://www.ledevoir.com/public/client-css/news-webview.jsp?newsid=1733 
             
              AUTRES DÉCÈS  
            Marcel Aubuchon, C. 50, professeur, décédé 
              le 10 juillet 2001. 
              Rolland Blais, c.r., C. 52, avocat, décédé 
              le 24 juin 2001-07-01. 
              Wilfrid Boileau, C. 25, médecin bactériologiste, 
              décédé le 19 juin 2001.  
              Roland Caron, C. 39, comptable. 
              André Dalpé, C. 46, chirurgien dentiste. 
              Roger David, C. 59, avocat. 
              Jean-Paul de la Sablonnière, C. 46, décédé 
              le 3 août 2001 
              René Dufresne, C. 31. 
              Claude Famélart, C. 58, décédé 
              le 24 mai 2001. Claude était le frère de Michel, C. 
              57 et de Louis, C. 59. 
              Jacques Fiset, C. 48, chirurgien dentiste, décédé 
              le 12 mai 2001. 
              Bernard Foisy, C. 46, prêtre. 
              Louis-Marc Gauthier, C. 46, décédé 
              le 6 juin 2001. 
              Pierre-Claude Hamel, C. 43, décédé 
              le 12 juin 2001. Le docteur Hamel a œuvré pendant près 
              de 35 ans comme chirurgien général à l’hôpital 
              de LaSalle. 
              André Laurin, C. 48, dentiste, décédé 
              le 30 juin 2001. 
              Claude Lavallée, C. 50, décédé 
              le 11 juillet 2001. 
              Léo R. Leblanc, c.r., C. 26, avocat, décédé 
              le 6 juin 2001. D’après les personnes de Granby qui 
              l’ont bien connu, Me Leblanc était «un gentleman, 
              tennisman, historien et poète». 
              Roger Lefebvre, C. 43, médecin anesthésiste. 
              Louis-Philippe McComber, C. 27, décédé 
              le 14 mars 2001. M. McComber était propriétaire d’une 
              importante entreprise de fourrures à Montréal. Il 
              était le père de Michel, C. 55, décédé 
              depuis quelques années, dont le talent de caricaturiste a 
              fait les beaux jours du journal Le Sainte-Marie. 
              Dom Jean Vidal, o.s.b., C. 38, décédé 
              le 26 mars 2001. Moine à l’abbaye de Saint-Benoît-du-Lac, 
              Jean Vidal a joué un rôle déterminant lors de 
              la construction de la nouvelle hôtellerie et de l’église 
              abbatiale. Ordonné prêtre en décembre 1949, 
              il exerça la fonction d’hôtelier pendant plus 
              de 40 ans, avec modestie et dévouement. 
            
            Remonter 
               |