Association des anciens élèves du collège Sainte-Marie
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BULLETIN DES ANCIENS

Extraits du Bulletin d'octobre 2003

 


Le mot du Président

Mutatis mutandis

Les photos des conventums, décrochées des vieux murs du Sainte-Marie, réapparaîtront, petit à petit, aux murs — virtuels ! — du nouveau Sainte-Marie... électronique. Déjà, des photos immortalisent les réunions de conventums quand, bien sûr, les organisateurs nous en font parvenir.

L'Association compte maintenant 452 membres en règle, de quoi donner de sombres remords à ceux qui lisent ces lignes... sans avoir payé leur cotisation annuelle.

Des « profiteurs » au Sainte-Marie ?

O tempora, o mores ! Quousque tandem abutere...

Et j'en passe !

Il paraît que ces « profiteurs » se recrutent parmi ceux qui montaient dans les tramways sans payer ! Voilà maintenant qu'ils entrent dans notre site... sans payer ! Décidément, le mauvais pli résiste au repassage !

Mais qu'ils ne se fassent pas d'illusions, nous repasserons !

Le Président,
Émile Robichaud, C. 53

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Nouvelles brèves

Les Fourberies de Scapin. Cinq anciens, accompagnés de leur conjointe, assisteront à cette comédie le 8 novembre prochain. Pour encourager le Théâtre Longue Vue, qui collabore depuis huit ans avec le Gesù, le conseil d'administration a acheté dix billets pour une soirée bénéfice dont le contexte rappellera l'époque de Molière. Voici les noms des cinq gagnants désignés parmi nos 452 membres en règle, au moyen d'un tirage au sort par ordinateur : Albert Day, C. 46, Jean-Gauthier Desjardins, C. 49, Hiral Hogue, C. 51, Jacques Malbœuf, C. 59 et François Côté, C. 62.

Site Internet. La recherche effectuée par Bernard Downs, C. 59, sur les éducateurs du collège de 1936 à 1966 vient d'être mise en ligne. Elle se présente sous la forme de trois tableaux qui recensent les personnes décédées, retracées et recherchées, couvrant aussi bien le personnel laïc que religieux. Allez au www.saintemarie.ca, sous la rubrique NOUVELLLES du C.A. À noter qu'un numéro spécial du Bulletin des Anciens sera publié en novembre prochain pour rendre cette recherche accessible à tous. Les autres documents ajoutés récemment sont les comptes rendus de la fête annuelle du 5 mai et de la rencontre du conventum 53 tenue le 9 mai. Des mises à jour seront faites dans les prochaines semaines pour la liste des membres en règle et la liste des adresses de courriel, ainsi que pour le Guide d'organisation d'une réunion de conventum.

Quelques chiffres. Comme indiqué ci haut, l'Association compte 452 membres en règle au moment d'aller sous presse. Notre banque de données complète comprend 2647 noms, incluant toutefois les personnes perdues de vue ou décédées au cours des trois dernières années. Quant aux adresses de courriel, le carnet en contient présentement 372. De ce nombre, 330 anciens (88,7 %) ont donné l'autorisation de publier leur adresse dans une section protégée par un mot de passe, ce qui est vraiment admirable.

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Mes terres à bois en Gaspésie

Depuis 1973, j'ai commencé à acheter des « terres à bois » en Gaspésie, le dernier achat étant conclu en 1997, pour un total aujourd'hui de quelque 750 acres. Celles-ci se situent depuis Saint-Léandre et les Méchins jusqu'à Manche d'Épée. Depuis la mort de mon frère qui s'en occupait jusqu'en 1992, je gère moi-même ces forêts et plus récemment, soit en 1997, je me suis embarqué à plein pouvoir avec les groupes forestiers du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie.

Je suis actif comme délégué représentant des propriétaires de Matane auprès du Syndicat des producteurs forestiers du Bas-Saint-Laurent , agent de liaison pour Matane avec ce même Syndicat, un des trois délégués au comité du Mérite forestier du Bas-Saint-Laurent et un des quatre délégués au comité Éthique de la région. Tout cela me tient pas mal occupé, les réunions se tenant surtout durant l'hiver, toujours à Rimouski.

Mon nouveau domicile est juste en dehors d'un magnifique petit village situé en bas de Matane et nommé Saint-Léandre, dont la population s'établit à environ 400 habitants, en comptant presque les chiens et les chats. Sur ma ferme, il y a une vieille maison criant pour se faire réparer, mais aussi une belle grange toute neuve que j'ai construite petit à petit depuis 1993. Celle-ci me sert d'atelier plutôt que de grange, mais comme on est à la campagne, on utilise les termes locaux. Je me suis fait beaucoup d'amis chez les gens du village, qui m'ont très bien accueilli au départ. L'hiver 2002-2003 nous apportait beaucoup de neige dès la fin d'octobre, pour la plus grande joie des motoneigistes. Un banc de neige de plus de deux mètres s'est accumulé entre la maison et la grange.

Je m'occupe beaucoup de l'aménagement de mes lots à bois, bénéficiant des programmes gouvernementaux destinés à remettre en belle production les forêts privées : un plantation datant de 1988 compte 25 000 épinettes, dont des portions de 1000 à 3000 arbres font l'objet depuis ce temps de multiples travaux. Les normes doivent être suivies à la lettre si on veut continuer à recevoir l'aide technique et les subventions du programme établi par le gouvernement fédéral en 1983, programme qui a été repris par le provincial en avril 1996, alors que la gestion des forêts privées et publiques était refilée aux provinces.

Comme c'est l'habitude à la campagne, la porte est toujours ouverte, mais un bref appel téléphonique serait de mise avant d'arriver comme un cheveu sur la soupe…

Richard d'Auteuil, C. 57

Richard d'Auteuil sur l'une de ses terres à bois, mars 2000.

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Le maitre saucissier

N.D.L.R. : Cet article est la reprise légèrement modifiée d'un texte présent sur le site Internet de l'entreprise William J. Walter : www.williamjwalter.com.

Saviez-vous que derrière le saucissier William J. Walter se cache un brillant joueur de hockey qui a déjà été membre de l'équipe nationale olympique canadienne, dirigée par le père Bauer à la fin des années 1960 ?

C'est au Collège Sainte-Marie puis à l'Université de Montréal, au début des années 1960, que les dépisteurs découvrent son talent de joueur de hockey. À la suite à son stage avec l'équipe nationale et quelques semaines sous les couleurs des Seals d'Oakland, il décide de faire carrière en Suisse en tant que joueur entraîneur, expérience qui s'étendra sur une quinzaine d'années

Mais comme toute bonne chose a une fin, Jean Cusson, C. 61, puisque c'est bien de cet ancien qu'il s'agit, revient s'établir en permanence au pays en 1985.

Une idée intéressante

Après le retour de Jean au pays, son frère Paul, professeur de créativité à l'Université du Québec à Montréal et consultant en créativité, lui présente, ainsi qu'à son autre frère Robert, le concept de la commercialisation de saucisses en vrac. S'inspirant de différentes boucheries européennes et de son stage en Europe, Jean et ses frères se lancent dans la production et la vente d'un produit alimentaire exclusif : la saucisse.

En 1987, lorsqu'il ouvre son commerce au Marché public 440, il offre tout au plus une vingtaine de saveurs différentes. Il a en comptoir les traditionnelles allemandes, de même que les Toulouse et les italiennes.

Mais Jean Cusson n'en reste pas à piétiner et à se contenter de ses premiers succès. Après le travail ardu des premières années, une fois son commerce bien ancré, il passe à l'action et invente de nouvelles saveurs. Le succès sera tel qu'il devra confier la fabrication des saucisses à un sous-traitant, afin de se consacrer entièrement à la vente et à l'organisation de la chaîne dans la grande région de Montréal. Aujourd'hui, Jean Cusson et son fils s'occupent du commerce corporatif familial et d'une chaîne qui compte 12 concessions.


Jean Cusson à l’entraînement avec l’équipe olympique canadienne

Des saveurs plus qu'originales

Au fil des ans et grâce à de nombreuses recherches en laboratoire, Jean Cusson est devenu le plus grand créateur de saucisses aux goûts nouveaux. Ses plus récentes recettes sont la saucisse à la citronnelle et au poivre, et la saucisse tropicale au rhum (contenant papaye, ananas et noix de coco). Et ce ne sont là que deux des 50 différentes saveurs offertes depuis la toute première création, il y a une quinzaine d'années : la saucisse à l'ail.

Observez ses comptoirs et vous constaterez que la clientèle ne se lasse pas d'essayer toutes les saveurs, sans compter les choucroutes et les moutardes qui sont aussi devenues ses spécialités.

Pourquoi alors avoir baptisé son commerce William J. Walter alors qu'il était lui-même une vedette très connue lorsqu' il s'est lancé en affaires ? En fait, William J. Walter est une autre idée de Paul, qui lui est venue en plein match de hockey, de sorte que chaque frère ait un prénom dans la compagnie : « William J. Walter, ça fait plus allemand, plus européen, plus saucisse... », répond Jean Cusson, qui est toujours aussi habile stratège pour marquer des points.

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Le Carnet

N. D. L. R. : Le signe @ marque un article reçu par courriel.

Louis-Bertrand Raymond, s. j., C. 33 nous a envoyé un aperçu de son parcours personnel. Soulignons que depuis lors, le père Raymond est décédé.

Le 24 avril 2003

Louis-Philippe de Grandpré et lui sont les deux seuls survivants du C.33. Le père Gérard Delisle et lui sont les deux survivants de l'entrée au Noviciat des Jésuites en 1933, qui célèbrent cette année leurs 70 ans dans la Compagnie de Jésus. Lui, après ses cinq dernières années de formation vécues en Amérique latine, il est nommé professeur de Rhétorique au collège Brébeuf, en 1948. De 1956 à 1992, il rédige le Bulletin de ce collège et de ses anciens, qui est devenu « Le Brébeuf », tout comme le vôtre a fini par s'appeler « Le Sainte-Marie ».

Après avoir enseigné la Rhétorique de 1948 à 1961, il inaugure l'option Lettres au niveau des Philos, et ensuite il enseigne le français en Collège II. En 1979, au décès du père Lucien Thibodeau qui avait été jusque-là « aumônier », puis directeur de l'Association des anciens de Brébeuf, il quitte l'enseignement pour lui succéder. Il rédige encore les Nouvelles des anciens ainsi que l'éditorial qui a été promu en dernière page du « Le Brébeuf ». Dans aucun de ses éditoriaux, il n'a employé le « Je ».

Depuis 1977, il a collaboré avec les éditions Bellarmin et Fides, comme traducteur dans la triade espagnol, anglais, français. Actuellement, il rédige une large portion des articles en version française de l'Annuaire de la Compagnie de Jésus, après avoir traduit des ouvrages les plus variés. Ce « il », c'est le père Louis-Bertand Raymond, s.j., alias lbraymond@brebeuf.qc.ca , qui déjà accuse 55 ans de présence active continue dans le même collège.

Un ancien discret,

Louis-Bertrand Raymond, s. j.

Roland Charrette, C. 35, a reçu en décembre 2002 la plus haute décoration décernée par la Croix Rouge, après 40 ans de bénévolat. Il a été trésorier régional de l'organisme depuis environ 15 ans.

Gérard Arbour, C. 37, s'inquiète de l'avenir : « J'ai trouvé très à propos le OUPS ! de votre récente missive pour le renouvellement de la cotisation. L'espérance de vie augmentant de jour en jour ; ceci, étant valable pour la génération montante, a une application inverse pour la descendante, comme les conventums des années 30. Je me sens aujourd'hui comme le dernier des Mohicans de mon conventum, surtout depuis la lecture du volet nécrologique du dernier Bulletin des Anciens. Vous venez de faucher l'arrière-garde presque au complet et il ne me reste plus qu'à m'enquérir s'il peut y avoir encore des survivants potentiels, non pas pour une réunion de conventum, mais peut-être pour risquer du moins une présence à la prochaine rencontre annuelle. »

Roger Bordeleau, C. 37, se dit enfin en voie de rétablissement complet après une longue période d'endurance et de lutte contre le cancer. Comme son confrère Arbour, il constate que « le conventum s'est appauvri entre-temps », mais il ne désespère pas de revoir quelques-uns de ses confrères.

François Lessard, C. 38, publie cette année un second bouquin intitulé Si saint Pierre savait ça… , un essai purement historique et non théologique, de l'an 33 à l'an 2003. Il avait publié son premier livre en 1979 sous le titre Message au « frère » Trudeau.

Georges-Henri Blouin, C. 42, nous a fait parvenir un imposant CV, mais nous ne pouvons en présenter qu'un résumé de sa carrière diplomatique. Entré en 1949 au ministère canadien des Affaires extérieures, il fut affecté successivement, jusqu'en 1965, aux missions diplomatiques à New Delhi, San Francisco, Athènes et Bruxelles. Entre 1965 et 1979, il occupa la fonction d'ambassadeur du Canada, au Cameroun, avec accréditation auprès de trois autres pays, et en Espagne, avec accréditation au Maroc. En 1979, il devient ambassadeur aux Pays-Bas jusqu'à sa nomination, en 1983, au poste de chef du Protocole du Gouvernement du Canada. À partir de 1985, il sera conseiller spécial dans le Bureau des Affaires d'Europe du même ministère.

Jean-Paul Couture, C. 42. Le Dr Couture pratique la chirurgie dentaire depuis 1948 et il est devenu orthodontiste en 1962. L'Association canadienne des orthodontistes lui a conféré en 1988 un certificat de membre à vie, en raison de ses 40 ans de pratique de médecine dentaire.

Jacques Gareau, C. 48, médecin qui pratique encore, envoie cette pensée : « Comme le temps passe, les années passent à tire-d'aile. » Et il ajoute : « Je vais bien, même si j'ai quitté le collège depuis un peu plus d'un demi-siècle. »

Claude-L. Paré, C. 48, pédiatre néonatologue, préside depuis 2001 le Dispensaire de diététique de Montréal. Il s'agit d'un organisme sans but lucratif qui s'occupe de mères enceintes en difficulté : adolescentes, femmes monoparentales ou démunies (sous 60 % du seuil de la pauvreté). L'objectif est de ramener chez ces femmes le taux de naissance de bébés de petit poids (moins de 2500 g) au niveau général de la population.

Jacques Brassard, C. 50, est un auteur prolifique : il a publié 2000 pages d'ouvrages de Droit et 3000 pages de livres de fiction. Il essaie d'atteindre les 4000 pages avec son journal personnel. « Pour mes tiroirs ?! », se dit-il avec humour.

Maurice Falardeau, C. 52, a pris sa retraite mais il commente : « Oui, plutôt non, car je suis très engagé en justice sociale : aide aux démunis du Québec et à des personnes de pays en développement, assistance aux sans-abri, organismes communautaires, comité d'orientation pastorale, cours à la faculté de Théologie, etc.

Guy Houle, C. 53, retraité après 27 ans au sein de la haute direction de Bell Canada et de BCE, occupe une bonne partie de son temps comme juge municipal à la nouvelle cour de Longueuil. « Pour le reste, dit-il, voyages, activités gastronomiques, arts lyriques et golf. Bref, la misère… »

Émile Robichaud, C. 53, notre président, est aussi écrivain essayiste. Il a publié en juin 2000, à compte d'auteur, en collaboration avec le sociologue Gary Caldwell : Qui a peur de la liberté ? et, en avril dernier, dans un ouvrage collectif, publié chez Novalis sous le titre : Témoins au coeur du monde, un texte intitulé : « Le feu de la colère et le feu de l'amour : Ignace et Benoît ». Il s'agit, bien sûr, d'Ignace de Loyola et de Benoît de Nursie.

Claude Lamarche, C. 58, a publié en août dernier, chez Guy Saint-Jean Éditeur, son deuxième roman intitulé Je ne me tuerai plus jamais. Il a publié son premier roman, Le cœur oublié, chez le même éditeur en 1999.

Pierre Marois, C. 58, nous donne à son sujet les informations suivantes : « Après avoir assuré la présidence du Conseil des Services essentiels de 1997 à 2001, l'Assemblée nationale m'a élu président-directeur général de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse, poste que j'occupe depuis août 2001, pour un mandat de cinq ans. Cette commission veille notamment au respect de la Charte des droits et libertés du Québec, notre loi quasi constitutionnelle

Richard Bergeron, C. 59, demande une rectification à la notice parue à son sujet dans le Bulletin d'octobre 2002 : il fait partie du chœur AMABILIS, et non pas de la chorale AMABIUS.

André L'Archevêque, C. 60, pédiatre à la retraite, a reçu en 1991le prix Ross de la Société canadienne de pédiatrie et, en 1994, le prix Letondal de l'Association des pédiatres de la province de Québec. Ces prix soulignent sa contribution remarquable à la connaissance et à la pratique de la pédiatrie au Canada et à l'étranger, particulièrement pour son implication dans la prévention des accidents chez les enfants.

Michel Marcil s. j., C.60, communique les informations suivantes : « Je rentre de Beijing où je dirige une session d'Introduction à la Chine. Cette session de 4 semaines se donne trois fois par année. Entre les sessions, je suis ici a San Francisco, au Ricci Institute for Chinese Western Cultural History. En octobre dernier j'ai reçu la visite de trois confrères de mon conventum ici à SFO. Je suis heureux de recevoir des nouvelles des anciens du Sainte-Marie. Salutations aux membres du Conseil. @

Ronald Bilodeau, C. 62. Après une brillante carrière dans la fonction publique fédérale à Ottawa, Ronald Bilodeau a été nommé en mai dernier vice-président pour la Région Est, à Montréal, du Chemin de fer Canadien Pacifique (CFCP), à titre de responsable des relations gouvernementales. Il occupait auparavant le poste de secrétaire associé du Cabinet et sous greffier du Conseil privé. @

Robert Comeau, C. 62, donne enfin de ses nouvelles. Il enseigne l'histoire à l'UQÀM depuis 1969 et il y est directeur des programmes d'histoire au premier cycle depuis trois ans. Il préside l'Association québécoise d'histoire politique et édite le Bulletin d'histoire politique, revue fondée en 1992. Depuis 1987, il a activement participé à l'organisation de la série des colloques de l'UQÀM sur les « leaders du Québec contemporain » ; les actes du 14 e colloque intitulés Robert Bourassa, un bâtisseur tranquille, paraîtront bientôt, sous sa codirection, aux Presses de l'Université Laval. Robert est aussi vice-président de la Fondation du Prêt d'honneur, dont est issue la résidence Maison du Prêt d'honneur.

Richard L'Heureux, C. 62, vice-président de l'Association, a complété cinq sections du marathon canadien de ski. Il reçu pour cela, en février 2003, avec plusieurs autres participants, le prix Johannsen bronze.

Pierre R. Brosseau. C. 64, brasse de grosses affaires depuis qu'il a été nommé président du conseil de Radio-Nord. Conjointement avec la société Spectra Scène, il a sollicité trois licences auprès du CRTC : une station de jazz à Montréal et deux stations rock à Sherbrooke et Trois-Rivières. De plus, en partenariat avec le groupe TVA, il a tenté de faire l'acquisition du réseau Radio media qui comprend près d'une dizaine de stations, dont CKAC et CHRC, mais cette dernière requête a été refusée.

Michel A. Pinsonnault, C. 68, a été nommé juge à la Cour du Québec au début de 2003, après avoir été bâtonnier de Montréal en 2001-2002. Il a aussi été récipiendaire du Mérite du Barreau de Montréal en 2001 et du Mérite du Barreau du Québec en 2003.

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Passons sur l'autre rive (Marc 3,35)

Jean-Charles Daoust, C. 27, décédé à Sainte-Anne-de-Bellevue le 27 septembre 2003. Il a été marchand général, avec spécialisation dans la chaussure. Pour l’Association, il fut jadis un membre très actif et généreux.

Roland Trudeau, C. 28, Oblat de Marie Immaculée, décédé à Ottawa le 23 juillet 2003. Après ses études à Sainte-Marie, il entre au noviciat des Oblats à LaSalle. Il est ordonné prêtre le 24 juin 1935, dans la cathédrale d’Ottawa. De 1936 à 1974, il remplit diverses fonction à l’Université d’Ottawa : préfet de discipline, professeur puis directeur à l’École secondaire, directeur du département de Commerce et secrétaire général de l’Université. Il se retire ensuite à la Maison de l’Assomption, devient archiviste de l’Université Saint-Paul, puis trésorier de la maison de retraite.

Gustave Dubuc, C. 33, oculiste.

Louis-Bertrand Raymond, s. j., C. 33, décédé à Barkmere le 29 juillet 2003. Entré chez les Jésuites en 1933, il a été ordonné prêtre en 1946. De 1948 à 1979, il est professeur de littérature au collège Brébeuf ; il fut aussi directeur de l’Association des anciens élèves de ce collège et rédacteur de leur bulletin Le Brébeuf. (Voir dans Le Carnet un message du père Raymond reçu par courriel en avril 2003.)

Alfred Bastien, C. 34, administrateur en assurances, décédé à Montréal le 18 avril 2001.

Guy Hurtubise, C. 36, directeur de relations industrielles, décédé à Montréal au cours de l’année 1999.

Denys Labrecque, C. 37, courtier d’assurances, décédé à Montréal le 14 septembre 2003. Il a occupé pendant plus de 40 ans la présidence de l’entreprise familiale Horace Labrecque et Fils.

Henri-Paul Martin, C. 37, ingénieur, décédé à Saint-Lambert le 20 juin 2003. Diplômé de l’École Polytechnique, il a travaillé presque toute sa vie chez Nortel. Il était le père de Pierre Martin, C. 55.

Roméo Rolland, C. 37, médecin, décédé à Verdun au cours de l’année 2003.

Jean-P. Bouthillier, C.38, ingénieur, décédé à Montréal le 15 juin 2003

Arthur Desrochers, C. 38, comptable, décédé à Montréal au cours de l’année 2003.

Robert Bergeron, C. 39, décédé à Montréal le 10 mai 2003. Il était agent de voyages.

Jean-Bernard Guilbault, C. 40, Oblat de Marie Immaculée, décédé à Richelieu le 14 mai 2003. Le père Guilbault a travaillé au service de l’homélite au Centre catholique d’Ottawa. Il a été vicaire à Ville-Marie (Témiscaminque), prédicateur dans diverses maisons de retraites fermées et conseiller matrimonial au Centre Saint-Pierre à Montréal.

Pierre Demers, s. j., C. 41, décédé à Montréal le 10 février 2002. Le père Demers est entré dans la Compagnie de Jésus en septembre 1943 et il a été ordonné prêtre en juin 1955. C’est à Taiwan qu’il e exercé divers ministères durant la majeure partie de sa vie active, jusqu'à son retour au Canada quelque temps avant sa mort.

Guy Desbarats, C. 42, architecte, décédé à Sherbrooke le 30 août 2003. Il habitait Georgeville en Estrie.

André Desrochers, C. 47, notaire, décédé à Montréal le 17 juin 2003.

Lionel Roy, C. 49, médecin, décédé à Montréal le 13 juillet 2003.

Léon Paré, C. 50, notaire, décédé à Montréal le 20 janvier 2002.

Maurice Plouffe, C. 50, médecin, décédé à Montréal le 26 mai 2003.

Michel Giovanetto, C. 55, avocat, décédé à Vancouver le 19 novembre 1977. Michel habitait à Saint-Hubert. Son décès nous a été confirmé par un de ses frères.

Jean Meunier, C. 55, décédé le 9 janvier 1999 à La Pocatière. Il a été professeur en techniques agricoles au collège de Sainte-Anne de La Pocatière.

Gatien Payette, C. 55, technicien éclairagiste, décédé à Montréal le 18 mars 2003. Gatien a été pendant longtemps directeur technique au théâtre du Gesù de même qu’au Conservatoire d’art dramatique du Québec. Il a établi une fondation à son nom qui, chaque année, remettait des bourses aux techniciens de théâtre lors de la Soirée des masques. Il possédait aussi un commerce de location et de vente d’équipement de spectacles.

René Charpentier, C. 65, fonctionnaire fédéral décédé en avril 1990. Docteur en sciences sociales, il a oeuvré au sein de différents ministères fédéraux dont, entre autres, le Conseil du Trésor et la Commission de l'emploi et de l'immigration (CEIC). Lors de son décès, il était directeur régional de la CEIC, dans la région des Cantons de l'Est, dont il était originaire. « Il a toujours manifesté sa fierté d'être un gars du Sainte-Marie », affirme son frère Jacques, C. 62, qui nous a annoncé son décès.

Yves Saint-Mleux, C. 68, professeur de mathématiques, décédé à Saint-Jean-sur-Richelieu le 24 octobre 2002. Yves a fait partie des derniers groupes de commandos routiers. Il était le conjoint de Martine Brault, aussi du conventum 68, qui nous a transmis cette information.

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